Abstract
Dès son origine en 1897, la ville de Bujumbura est une ville de migration. Les burundais s'installent dans la capitale Bujumbura à partir de 1930 là où aujourd'hui se trouve le quartier de Buyenzi, habité par les swahili, les travailleurs congolais et tanzaniens. La même année les colonisateurs belges installent un camp militaire dans la zone de Bwiza.
Estimée à 60 000 habitants en 1962, Bujumbura comptais une population résidente en 2005 de 500 000 habitants. La population active dépasse les 300 000 habitants. Mais cette population résidente est inégalement répartie. Elle se regroupe surtout dans les quartiers périphériques du noyau de la Capitale où la densité atteint parfois plus de 2 000 habitants au km².
En 2008, il y avait un million d'habitants dans la capitale, Bujumbura. L'âge médian est de 16,9 ans et la proportion des moins de 15 ans correspond à 46 % de la population totale du pays.
La mobilité spatiale d'une population suppose l’existence de deux lieux : un lieu d’origine et un lieu de destination. C’est pour cette raison on parle de migration quand ça implique un déplacement qui entraîne un séjour prolongé ou définitif.
On parle de la migration interne lorsqu’elle s’opère à l’intérieur d’un pays, comme c’est notre cas de cette étude.
Nous parlerons de cette migration interne qui s’est opérée a Bujumbura
Estimée à 60 000 habitants en 1962, Bujumbura comptais une population résidente en 2005 de 500 000 habitants. La population active dépasse les 300 000 habitants. Mais cette population résidente est inégalement répartie. Elle se regroupe surtout dans les quartiers périphériques du noyau de la Capitale où la densité atteint parfois plus de 2 000 habitants au km².
En 2008, il y avait un million d'habitants dans la capitale, Bujumbura. L'âge médian est de 16,9 ans et la proportion des moins de 15 ans correspond à 46 % de la population totale du pays.
La mobilité spatiale d'une population suppose l’existence de deux lieux : un lieu d’origine et un lieu de destination. C’est pour cette raison on parle de migration quand ça implique un déplacement qui entraîne un séjour prolongé ou définitif.
On parle de la migration interne lorsqu’elle s’opère à l’intérieur d’un pays, comme c’est notre cas de cette étude.
Nous parlerons de cette migration interne qui s’est opérée a Bujumbura
confirm funding
Event ID
17
Paper presenter
49 462
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Internal migration in the city of Bujumbura from colonial times to 2012
Abstract (Translated)
Since its foundation in 1897, the city of Bujumbura has been a city of migration. The Burundians began living in the capital city of Bujumbura in 1930 in the current neighbourhood of Buyenzi, now inhabited by Swahilis, Congolese and Tanzanian workers. The same year, the Belgian colonizers set up a military camp in the Bwiza area. With an estimated population of 60,000 inhabitants in 1962, Bujumbura had a resident population of 500,000 inhabitants in 2005. The working population comprises more than 300,000 inhabitants. However, the resident population is distributed unequally. It is mainly found in the peripheral areas of the nucleus of the capital where the density is sometimes more than 2,000 inhabitants per square kilometre. In 2008, there were one million inhabitants in Bujumbura. The median age is 16.9 and 46% of the total population is under 15 years of age. The geographical mobility of a population is based on the existence of two places: a place of origin and a place of destination. This is why the term “migration” is used when it implies a displacement that leads to a long-term or permanent stay. The term “internal migration” is used when it occurs within the same country, which is the case of the present study in which we will examine the internal migration that took place in Bujumbura.
Status (Translated)
2
Type of Submissions
Regular session presentation, if not selected I agree to present my paper as a poster
Language of Presentation
French
Initial First Choice
Initial Second Choice
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1