This is my first session. I have not asked yet the discussant. I will do that when the convener agrees on my choice of discussant

REDUIRE LES GROSSESSES NON DESIREES ET LES AVORTEMENTS PAR UNE PRATIQUE ACCRUE DE LA CONTRACEPTION : LE CAS DU CAMEROUN

Abstract
Chaque année dans le monde, 87 millions de femmes se retrouvent enceintes sans l’avoir voulu. Pour certaines, la situation peut être une surprise agréable, pour d’autres en revanche, la grossesse risque de ne pas être désirée. Les avortements qui s'en suivent contribuent à la morbidité et à la mortalité maternelle. Au Cameroun, le rapport de mortalité maternelle sur la période 2004-2011 est de 782 décès pour 100 000 naissances vivantes, les grossesses non désirées représentent 6% et les hospitalisations pour cause de complications d’avortements provoqués témoignent de l’effectivité des grossesses indésirées. Or, l’utilisation accrue de la contraception peut contribuer au bien-être général des femmes. Le but de cette recherche est d’expliquer comment les conditions de vie, le contexte socioculturel et les relations de genre influencent la pratique contraceptive et l’avortement. Les données de l’EDS-MICS réalisée en 2011 et des informations de source hospitalière sont utilisées pour dresser le profil des femmes qui ont des grossesses non désirées, qui pratiquent des avortements et qui utilisent/n’utilisent pas la contraception. L'étude identifie les facteurs associés aux grossesses non désirées et débouche sur quelques propositions pour faire face à ce problème de santé publique.
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Event ID
17
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34 867
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Reducing unwanted pregnancies and abortions by greater use of contraception: Cameroon
Abstract (Translated)
Each year, 87 million women in the world become pregnant without intending to. For some of them, this may be a pleasant surprise, but for other the pregnancy may well be unwanted. The abortions that result contribute to maternal morbidity and mortality. In Cameroon, the maternal mortality rate for 2004-2011 was 782 per 100,000 live births, unwanted pregnancies are 6% of the total and hospital admissions for complications after induced abortions demonstrate the effect of unwanted pregnancies. Greater use of contraception, however, can contribute to women’s general well-being. This research explains how living conditions, socio-cultural context and gender relations influence contraceptive practice and abortion. Data from the 2011 DHS-MICS and information from hospitals are used to sketch the profiles of which women have unwanted pregnancies, use abortion and use or do not use contraception. The study identifies the factors associated with unwanted pregnancies and makes a number of proposals for addressing this public health problem.
Status (Translated)
2
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Language of Presentation
French
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36
Status in Programme
1

Pauvreté et utilisation de la contraception dans la région du Sud-Cameroun: Cas de la ville de Sangmélima

Abstract
Les pays d’Afrique Subsahariens se caractérisent par un faible taux de prévalence contraceptive et de l’importance des besoins non satisfaits en la matière. Pour certains auteurs, ce phénomène s’explique par l’inaccessibilité des moyens modernes de contraception, la mauvaise distribution, le faible soutien étatique et le coût élevé des méthodes contraceptives (Veron, 1997 ; Bella, 1998) pour d’autres par contre, l’émergence d’une demande des services de planification familiale inhibée par les normes socioculturelles en vigueur dans ces sociétés en serait la principale raison. Ce constat reste maintenu dans le contexte camerounais. Dans la région du Sud Cameroun, environ une femme sur trois en union utilise une méthode contraceptive et 30% utilisent une méthode moderne. Par ailleurs, la prévalence du VIH est nettement plus élevée dans la région du Sud que dans les autres régions du pays et se situe à 7,2 % (EDS-MICS, 2011). Cette région n’étant pas uniforme du point de vue du développement économique et des comportements, on peut envisager l’analyse du point de vue de la configuration de cette région. Ainsi, le cas de la ville de Sangmélima trouve ainsi sa pertinence. Qu’est ce qui explique le niveau actuel d’utilisation de la contraception par les femmes en union à Sangmélima ? La pauvreté y joue-t-il un rôle ?
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Event ID
17
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52 829
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Poverty and the use of contraception in southern Cameroon: the case of Sangmélima
Abstract (Translated)
The countries of Sub-Saharan Africa are characterised by a low rate of contraceptive use and a high level of unsatisfied requirements in that respect. For certain authors, this can be explained by the inaccessibility of modern contraceptive methods, poor distribution, low government support and the high cost of contraceptive methods (Veron, 1997; Bella, 1998). For others, the emergence of a demand for family planning services inhibited by the sociocultural norms currently in force in these societies, is the main reason. The problem persists in Cameroon. In southern Cameroon, approximately one woman out of three living in a couple uses a contraceptive method and 30% use a modern method. The prevalence of HIV is much higher in the south than in other parts of the country i.e. 7.2% (DHS-MICS, 2011). Since southern Cameroon is not uniform in terms of economic development and behaviours, it can be analysed according to its particular configuration. In this respect, Sangmélima is highly pertinent. What explains the current level of use of contraception by women living in couples in Sangmélima? Does poverty play a role?
Status (Translated)
2
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

ECART ENTRE PREMIER RAPPORT SEXUEL ET PREMIERE GROSSESSE CHEZ LES FEMMES CAMEROUNAISES : L’EFFET DE LA CONTRACEPTION

Abstract
Selon l’EDSC-2004, les femmes camerounaises ont dans l’ensemble leur premier enfant entre 19 et 20 ans. En 2005, 25% de femmes avaient eu leur premier enfant avant 17ans, et 53% avant 19ans. Ces indicateurs révélateurs de la précocité de l’entrée en vie féconde des femmes Camerounaises, pourraient s’expliquer par une entrée en vie sexuelle précoce qui augmente le risque de grossesse en absence d’utilisation efficace de méthodes contraceptives. Cet article se propose d’évaluer l’efficacité de la contraception, en analysant les durées de parcours de vie entre de l’âge au premier rapport sexuel et l’âge à la première grossesse en fonction du recours ou non à la contraception. Les données utilisées ici sont ceux de l’enquête «Pauvreté et besoins non satisfaits en santé de la reproduction chez les adolescents et les jeunes» réalisée en 2010 par IFORD, qui a recueilli des biographies d’adolescents et jeunes âgés de 15 à 34 ans vivant à Bafia. Le recours aux tables de survie et aux courbes de Kaplan Meier permettra de ressortir les écarts entre l’entrée en vie sexuelle et l’entrée en vie génésique, et le modèle de Cox d’identifier les déterminants de la variabilité de la durée de ce parcours de vie.
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Event ID
17
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52 800
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Elapsed time between first sexual relations and first pregnancy among Cameroon women: the effect of contraception
Abstract (Translated)
According to the 2004 DHS, Cameroun women generally have their first child between the ages of 19 and 20. In 2005, 25% had their first child before age 17 and 53% before age 19. These indicators of the early start to childbearing among Cameroun women may be due to an early start to sexual experience, which increases the risk of pregnancy in the absence of effective use of contraception. This paper evaluates the effectiveness of contraception by analysing the time elapsed between age at first sexual relations and age at first pregnancy according to whether or not contraception is used. The data come from the IFORD 2010 “poverty and unmet needs in reproductive health of adolescents and youth” survey, which recorded the biographies of adolescents and young people between 15 and 34 living in Bafia. Use of survival tables and Kaplan Meier curves identifies the times elapsed between first sexual experience and first childbearing, and the Cox model the determining factors for the variability of this elapsed time.
Status (Translated)
2
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

L’avortement chez les jeunes à Yaoundé : pauvreté ou peur de la sanction sociale ?

Abstract
Le caractère illégal de l’avortement pousse les personnes dans la clandestinité avec des méthodes dangereuses et de conditions d’avortement précaires aux nombreuses conséquences en termes de morbidité et de mortalité pour les jeunes filles.
Cette étude porte sur la pratique de l’avortement au Cameroun et ses causes réelles. Elle a pour objectif de mettre en lien la pratique de l’avortement avec la pauvreté et aussi la peur de la sanction sociale à travers les discours des adolescents, des jeunes et de leurs parents en la matière. Spécifiquement, elle vise à déterminer le profil de jeunes qui y ont recours et aussi de comprendre toutes les pratiques qui l’entourent. Ce travail s’appuie sur des données issues de l’enquête qualitative réalisée dans le cadre du projet Demtrend intitulé : « pauvreté et besoins non satisfaits des adolescents et jeunes en santé reproductive en Afrique centrale ». Cette enquête qualitative réalisée à Yaoundé est constituée de 32 entretiens individuels et 8 discussions dirigées de groupe. L'élaboration des fiches et portraits serviront pour le traitement des données. L'analyse de contenue thématique et l'élaboration des typologies seront utilisées pour les analyses.
A l’issu de cette étude, les liens entre l’avortement, la pauvreté et la peur de la sanction sociale seront documentés.
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Event ID
17
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55 073
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Abortion among young people in Yaoundé: poverty or fear of social disapproval?
Abstract (Translated)
The illegal nature of abortion forces people into the backstreets, where methods are dangerous and the abortion conditions unsuitable, with many consequences in terms of morbidity mortality among girls. This study examines the practice of abortion in Cameroon and its real causes. It relates the practice of abortion to poverty and the fear of social disapproval, on the basis of statements from adolescents, young people and their parents. Specifically, it seeks to determine the profile of the young people who abort and to understand all the practices associated with abortion. It is based on data from the qualitative survey held as part of the Demtrend project, entitled “Poverty and adolescent and young people’s unmet needs in reproductive health in Central Africa”. Factsheets and portraits are established to help data processing. Thematic content analysis and identification of typologies are used for analysis. The study finally documents the links between abortion, poverty and fear of social disapproval.
Status (Translated)
2
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

Influence socioculturelle démographique et économique de l’interruption et de l’échec dans l’utilisation des méthodes contraceptives par les femmes en union au Bénin

Abstract
Cette étude examine les influences socio-culturelles, démographiques et économiques de l’interruption et de l’échec dans l’utilisation des méthodes contraceptives chez la femme en union au Bénin et a pour but d’améliorer la base factuelle sur les dynamiques de la pratique contraceptive. Des modèles de régression logistique ont été appliqués aux données de l’EDSB3-2006 du Bénin. Il y ressort que l’interruption d’une méthode contraceptive par la femme est associée à son âge, sa parité atteinte, sa religion, son milieu de socialisation, son niveau d’instruction, le niveau de vie de son ménage et à sa région de résidence. L’’échec dans l’utilisation de la méthode quant à lui, est associé à la parité de la femme, son niveau d’instruction, sa région de résidence et son degré d’exposition aux médias. Ces conclusions impliquent pour le Bénin, un renforcement de la supervision médicale de la pratique contraceptive, un élargissement de l’accès aux différentes méthodes contraceptives et une amélioration de la connaissance des technologies contraceptives chez les divers acteurs. Par ailleurs, les données de l’EDSB-4 de 2012 dont la base n’est pas encore stabilisées nous permettront de renchérir cette étude en nous intéressant à une évolution dans le temps.
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Event ID
17
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52 269
Language (Translated)
en
Title (Translated)
The sociocultural, demographic and economic influence of interruption and failure in the use of contraceptive methods by women in union in Benin
Abstract (Translated)
This study examines the sociocultural, demographic and economic influences of interruption and failure in the use of contraceptive methods by women in union in Benin. Its goal is to improve the evidence base on the dynamics of contraceptive practice. Logistical regression models were applied to data from Benin's EDSB3-2006. It emerged that a woman's interruption of a contraceptive method is associated with her age, her achieved parity, her religion, her social milieu, her level of education, her household's standard of living and her region of residence. Failure in the use of the method is associated to the woman's parity, her level of education, her region of residence and her degree of exposure to media. The implications of these conclusions for Benin include a reinforcement of the medical supervision of contraceptive practices, a broadening of access to the various contraceptive methods, and improvement of knowledge of contraceptive technologies among various actors. Moreover, data from the EDSB-4 of 2012, whose database is not yet stabilized, will allow us to enrich this study with an examination of change over time.
Status (Translated)
2
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

L’AVORTEMENT DANS LE MONDE MUSULMAN ENTRE LE REFERENTIEL RELIGIEUX ET LE REFERENTIEL UNIVERSEL : LES TERMES D’UN DEBAT

Abstract
L’objectif de cette communication portant sur l’interruption volontaire de la grossesse, dans les pays musulmans où la question du respect du référentiel religieux est problématique, est de rendre compte d’une part, de l’évolution du débat sur cette question qui, depuis longtemps, mobilise et oppose les partisans de la libération de l’avortement aux partisans de la défense du droit à la vie.
Ce droit à la vie pose la question fondamentale : quand commence la vie et est-ce que l’avortement constitue une atteinte à la vie ? La réponse apportée par les législations des pays musulmans diffère selon les situations et selon l’âge de la grossesse, le Fiqh, en dépit de l’interdiction par la Chariaa, à travers l’Ijtihad, a pu apporter des solutions nuancées dans certains pays musulmans.
Et d’autre part, d’analyser la situation dans certains pays musulmans à travers le référentiel de la réalité sociale, permet également de dégager les perspectives d’avenir par rapport à cette question qui constitue une problématique d’une extrême sensibilité particulièrement en ce moment où les conservateurs sont au pouvoir dans de nombreux pays musulmans et revendiquent l’application stricte de la Chariaa, sans possibilité de s’ouvrir sur des lectures qui permettraient l’avortement dans des situations précises.
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Event ID
17
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46 663
Language (Translated)
en
Title (Translated)
- Abortion in the Muslim world, between the religious and universal reference frames: the terms of a debate
Abstract (Translated)
- This paper on induced abortion in Muslim countries where the question of respect for the religious reference frame raises problems, aims to describe the evolution of the long-standing debate between supporters of freedom for abortion and partisans of the right to life. The right to life poses the fundamental question of when life begins and whether abortion is an offense against life. Legislation in Muslim countries answers this question differently according to situation and the stage of pregnancy, and although the Sharia bans it the Fiqh, through Ijtihad, has provided nuanced solutions in some Muslim countries. Also, an analysis of the situation in some Muslim countries by reference to social reality can identify future prospects on this highly sensitive issue – particularly sensitive now that conservatives are in power in many Muslim countries and are demanding strict application of Sharia, with no possibility of more flexible interpretations that would allow abortion in certain situations.
Status (Translated)
2
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

L’avortement provoqué en Algérie, un tabou et des victimes!

Abstract
Les propos qui seront développés dans la communication s’attache à présenter un état de lieu sur un phénomène qui prend de l’ampleur en Algérie, qui est l’avortement provoqué, en présentant dans un 1ér temps de manière synthétique les éléments d’évaluation d’une enquête réalisée en 2006 (fréquence, statut socioculturel et éducatif des femmes, les raisons qui poussent les femmes à avorter..). Sera abordé ensuite le contexte juridique en Algérie vis-à-vis cette problématique. Pour illustration : 80000 avortement sont recensés chaque année, 80 décès sont enregistrés en 2006 à Alger seulement , le coût de l’avortement clandestin est de 90000 Dinars, l’avortement est répandu beaucoup plus en milieu urbain, dans 70 % des cas ce sont des femmes instruites, la loi Algérienne et la charia interdisent et criminalisent l’avortement sauf dans certains cas spécifiques tels que l’interruption thérapeutique de la grossesse et aussi pour les femmes violés par les terroristes ( loi de 2004). Pour le cas de dénis de grossesse, de grossesse non désirée et l’accès au soins de santé maternelle pour les femmes célibataires, la question demeure toujours tabou, quoique on enregistre un début d’amorce de débat sur ces questions.
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Event ID
17
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49 289
Language (Translated)
en
Title (Translated)
- Induced abortion in Algeria: a taboo, and victims
Abstract (Translated)
- This paper presents a review of a growing phenomenon in Algeria: induced abortion. It first summarises the elements evaluated in a 2006 survey (frequency, sociocultural and educational status of the women, reasons that led them to abort, etc.) and then addresses the legal situation regarding induced abortion in Algeria. By way of illustration: 80,000 abortions a year are recorded; 80 deaths were recorded in 2006 in Algiers alone; a clandestine abortion costs 90000 Dinars; abortion is far more common in urban areas; in 70% of cases the women concerned is educated; Algerian law and sharia law prohibit and criminalise abortion except in certain specific cases such as therapeutic abortion and for women raped by terrorists (2004 act of parliament). In cases of pregnancy denial and unwanted pregnancy and in relation to access to maternal health care for single women the question remains taboo, although there are signs that discussion of these issues is just beginning.
Status (Translated)
2
Type of Submissions
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

TYPOLOGIE DES COUPLES ET UTILISATION DES METHODES DE CONTRACEPTION MODERNE AU NIGER

Abstract
Malgré les efforts fournis par les autorités publiques, la pratique de la contraception reste particulièrement très faible en Afrique Subsaharienne en général, et au Niger en particulier. La faiblesse de la prévalence contraceptive est soutenue par un ensemble des facteurs dont ceux liés aux caractéristiques socioéconomiques des conjoints. Cette étude a ainsi permis de confronter ces caractéristiques et de dégager des types de couple à l’intérieur desquels sont observés les comportements des femmes vis-à-vis de la contraception moderne. Ainsi, il ressort des analyses bivariée et multivariée que la pratique contraceptive est significativement corrélée au niveau d’instruction et à l’occupation du couple. Toutefois, c’est lorsque le niveau d’instruction de l’homme est plus élevé que celui de la femme qu’on observe une forte chance d’utilisation de la contraception moderne. De même, quand l’homme travaille dans le secteur moderne, la femme a plus de chance d’être "contraceptante" que dans le cas contraire. Ce résultat reflète la réalité du pays car, dans le contexte nigérien, l’homme est responsable du foyer et donc de la fécondité de sa femme. S’agissant du régime matrimonial, contre toute attente, aucune différence de comportement contraceptif n’est remarquable selon que la femme soit en union polygamique ou monogamique.
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Event ID
17
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52 574
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Typology of couples and use of modern contraceptives in Niger
Abstract (Translated)
Many developing countries have extremely high fertility and population growth, together with unsatisfactory health among mothers and children, so the use of modern contraceptives is an ongoing challenge. Despite the consistent endeavours of the authorities, contraceptive use is very low in sub-Saharan Africa. This is due to a range of factors relating basically to opportunity, capacity and motivation. Other factors to consider are the possibilities for partners to discuss and agree on the question. This study seeks to identify what types of couples are most likely to use a modern method of contraception. The aim is to use certain socio-economic characteristics (educational level, occupation, ethnic origin and marital status) to trace patterns corresponding to types of couple. These variables are compared with the “contraceptive use” variable first by bivariate descriptive analysis and then multivariate regression to identify degrees of correlation.
Status (Translated)
2
Type of Submissions
Regular session presentation, if not selected I agree to present my paper as a poster
Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1