Abstract
Married adolescent girls have received relatively little attention from family planning (FP) and HIV programs. It is frequently assumed that girls who marry early are expected to prove their fertility early in the marriage. Perhaps for this reason, few national FP programs target this group. This paper explores the use of FP among married adolescents using data from 6,569 girls in Ethiopia, Tanzania and Uganda. Nearly two-thirds of married Ethiopian girls were using a method (58%), compared to 21% of Tanzanian girls and 26% of Ugandan girls. The most common method among Ethiopian girls were injectables, while condoms were the primary method used in the other two countries. Among those using FP, 86% of Ethiopian girls were using FP to delay the first birth, compared to 31% in Tanzania. The main reasons for non-use among those who desired FP related to partner refusal. Findings suggest that FP use – including condom use - is acceptable for the earliest marrying girls, many of whom use it to delay the first birth. Involvement of male partner is critical for optimizing FP use in early marriages.
confirm funding
Event ID
17
Paper presenter
50 603
Language (Translated)
fr
Title (Translated)
L'utilisation des services de planification familiale chez les adolescents mariés dans trois pays d'Afrique de l'Est
Abstract (Translated)
Les programmes de planification familiale (PF) et les programmes VIH ont accordé relativement peu de place aux jeunes adolescentes mariées. On présume souvent que les jeunes filles qui se marient à un âge précoce sont amenées à prouver leur fécondité très tôt au cours du mariage. C'est peut-être pour cette raison que peu de programmes nationaux de PF s'adressent à ce groupe. Cette étude examine l'utilisation des programmes de planification familiale chez les adolescents mariés à partir de données portant sur 6 569 jeunes filles d'Ethiopie, de Tanzanie et d'Ouganda. Près de deux tiers des jeunes filles mariées utilisaient une méthode contraceptive en Ethiopie (58 %), comtre seulement 21 % en Tanzanie et 26 % en Ouganda. La méthode contraceptive la plus utilisée par les jeunes filles éthiopiennes sont les contraceptifs injectables, tandis que dans les deux autres pays, ce sont surtout les préservatifs. Parmi les jeunes qui utilisaient les programmes de PF, 86% des jeunes Ethiopiennes le faisaient dans le but de retarder la naissance de leur premier enfant, contre 31% en Tanzanie. La principale raison de la non utilisation de contraceptifs parmi les jeunes qui souhaitaient y recourir est liée au refus du partenaire. Les résultats indiquent que l'utilisation d'une méthode contraceptive, y compris de préservatifs, est acceptable pour les jeunes filles qui se marient à un âge très précoce, pour un grand nombre d'entre elles pour retarder leur première grossesse. L'implication du partenaire masculin est essentiel pour l'optimisation de l'emploi des contraceptifs pour les mariages précoces.
Status (Translated)
2
Type of Submissions
Regular session only
Language of Presentation
English
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1
Submitted by Annabel.Erulkar on