La Méthode des jours fixes pour la planification familiale au mali : Niveau de connaissance et piste d’utilisation

Abstract
Dans un contexte malien où les besoins non encore satisfaits en matière de planification familiale (PF) s’élèvent à environ 31% (EDSM, 2006) et où de femmes se plaignent des effets secondaires des méthodes modernes de PF (ATN, 2007), la connaissance et l’utilisation des méthodes naturelles de planification familiale peuvent s’avérées être une solutions. Cette étude met en évidence une méthode naturelle de planification familiale à savoir la méthode des jours fixes (MJF). Pour ce faire, les données de l’enquête sur les méthodes de planification familiale basées sur la connaissance de la fertilité dans le District de Bamako, et les régions de Koulikoro et de Ségou au Mali organisée par l’IRH en 2009 seront utilisées afin d’évaluer le niveau de connaissance de la MJF, d’identifier les facteurs à l’origine de la non utilisation de cette méthode et d’ouvrir de pistes de réflexion pouvant favoriser l’utilisation de celle-ci dont le taux d’efficacité est de 95% (IRH, 2008). Une régression logistique sera estimée en vue de rechercher les facteurs qui expliquent la non utilisation de la MJF. Faire une campagne de sensibilisations de proximité auprès des couples en vue de mieux présenter la MJF est un préalable important à l’utilisation de cette méthode.
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17
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34 862
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en
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The Standard Days Method of family planning in Mali: knowledge and ideas for greater use
Abstract (Translated)
In Mali, where unmet needs for family planning are some 31% (DHS, 2006) and women complain of the side effects of modern methods (ATN, 2007), knowledge and use of natural family planning methods may be a solution. This paper describes a natural family planning method known as the Standard Days Method (SDM). Data from the survey of family planning methods based on knowledge of the fertility cycle, held by the IRH in Bamako district and Koulikoro and Ségou regions in 2009 are used to assess the extent of knowledge of SDM, identify the factors behind the non-use of this method and propose ideas for encouraging its use, since its perfect-use efficacy is 95% (IRH, 2008). A logistic regression is run to find the factors explaining non-use of SDM. A preliminary local awareness campaign among couples to present SDM is an important factor in the use of this method.
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2
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French
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32
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1

Accessibilité et variation de la pratique contraceptive selon le milieu de résidence au Burkina Faso

Abstract
Selon les résultats de l’EDSBF-MICS (2010) du Burkina Faso, seulement 15,0% des femmes en union enquêtées déclarent utiliser une méthode de contraception moderne. Alors que 23,8 d’entre elles déclarent avoir des besoins non satisfait en matière de planification familiale dont la majorité réside en milieu rural. De plus, la prévalence contraceptive cache une disparité selon le milieu de résidence (30,8% en milieu urbain contre 10,8 en milieu rural). Cette situation peut s’expliquer par une mauvaise accessibilité des contraceptifs en milieu rural ou par un désir d’un élevé d’enfant. Il s’agit dans ce travail de mettre en évidence l’influence de l’accessibilité aux services de PF sur la pratique contraceptive. Pour ce faire les données de l’EDSBF-MICS (2010) seront utilisées. Les méthodes d’analyse bivariée, d’AFCM et de régression logistique binomiale seront également utilisées. A la suite de ces analyses, nous nous attendons à ce que quel que soit le milieu de résidence le bon niveau d’accessibilité aux services de PF favorise une meilleur utilisation de la contraception moderne.
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17
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56 595
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en
Title (Translated)
Accessibility and variation in contraceptive practice in urban/rural areas in Burkina Faso
Abstract (Translated)
According to the 2010 DHS-MICS in Burkina Faso, only 15.0% of married women surveyed stated that used a modern method of contraception. Although 23.8% of them said that they had unmet needs for family planning, most of them in rural areas. Furthermore, overall contraceptive practice conceals a wide gap between urban (30.8%) and rural (10.8%) areas. This may be due to poor accessibility to contraceptives in rural areas or the desire to have children. This paper examines the influence of accessibility to family planning services on contraceptive practice. It uses the 2010 DHS-MICS data, and bivariate analysis, MCA, and binomial logistic regression. Our expected results are that, whether for urban or rural areas, good accessibility to family planning services favours greater use of modern contraception.
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2
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French
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1 000
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1

LA PRATIQUE CONTRACEPTIVE, LE GENRE ET LA TRANSITION NAISSANTE DE LA FECONDITE AU BURKINA FASO

Abstract
L’utilisation croissante de la contraception moderne est un facteur souvent évoqué pour expliquer l’amorce de la transition de la fécondité dans certains pays. Le Burkina a une fécondité encore élevée et une prévalence contraceptive moderne faible. Cette faible prévalence contraceptive soulève quelques interrogations en ce qui concerne les déterminants de la pratique contraceptive.
Pour aborder une telle problématique, nous nous intéressons aux caractéristiques de la femme, de son conjoint, et de l’offre contraceptive pour pouvoir cerner les facteurs qui favorisent et ceux qui font obstacle à la pratique contraceptive.
En s’appuyant sur les données des EDS, l’objectif de cette étude est de dégager le profil des femmes et des hommes utilisateurs et non de contraceptifs modernes et d’identifier les facteurs qui favorisent ou entravent la pratique contraceptive dans le pays.
Nous faisons d’abord une analyse descriptive de la pratique contraceptive. Nous mesurons ensuite la fréquence d’utilisation des méthodes contraceptives, puis nous procédons à une analyse multi-variée pour cerner les facteurs explicatifs de la pratique contraceptive. No us pensons que les caractéristiques sociodémographiques des femmes, de leurs conjoints et l’offre contraceptive influent beaucoup sur la pratique contraceptive.
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17
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34 863
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Contraceptive practice, gender and emerging fertility transition in Burkina Faso
Abstract (Translated)
The growing use of modern contraception is a factor often mentioned to explain the emergence of the fertility transition in certain countries. Burkina Faso still has high fertility and low prevalence of modern contraception. This low prevalence raises questions about the determining factors for contraceptive practice. We examine the characteristics of the woman, her spouse and the range of contraceptives available in order to identify the factors that help or hinder contraceptive practice. Using DHS data, this study sketches the profiles of the women and men who use or do not use modern contraceptives and identifies the factors that help or hinder contraceptive practice in this country. We first present a descriptive analysis of contraceptive practice, measure the frequency of use of contraceptive methods and carry out a multivariate analysis to identify the explanatory factors for contraceptive practice. We consider that the socio-demographic characteristics of women and their spouses and the range of contraceptives available have a great influence on contraceptive practice.
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2
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French
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33
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1

Les déterminants de la pratique contraceptive chez les Femmes en Afrique: cas du Sénégal

Abstract

THEME : Les déterminants de la pratique contraceptive chez les Femmes en Afrique: cas du Sénégal
NOM AUTEUR : DIOP
PRENOM AUTEUR : PAPA MABEYE
INSTITUTION DE RATTACHEMENT : Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD) –SENEGAL
Adresse email : mabeye.diop@ansd.sn/mabeye10@gmail.com

RESUME

Au Sénégal, malgré les actions entreprises, le niveau de la fécondité reste encore parmi les plus élevés au monde. Estimé à 7,1 enfants par femme en 1978, le nombre moyen d’enfants par femme a diminué, atteignant 5,7 enfants par femme en 1997 (EDS-III), 5,3 enfants par femme en 2005 (EDS-IV), et 5 enfants par femme en 2010 (EDS-MICS 2010-2011). Cette baisse de la fécondité est un phénomène urbain essentiellement imputable au relèvement de l’âge au premier mariage. La faible adhésion des populations au programme de planification familiale soulève des interrogations quant aux déterminants de la pratique contraceptive qui fait l’objet de cette étude. Il importe donc d’identifier les facteurs sur lesquels il faut agir pour promouvoir la pratique contraceptive chez les femmes.

Cette étude vise à améliorer les connaissances sur l’utilisation de la contraception chez les femmes sénégalaise à partir des données de l’Enquête Démographique et de Santé à Indicateurs Multiples (EDS-MICS)

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Event ID
17
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52 566
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Determining factors for contraceptive practice among women in Africa: Senegal
Abstract (Translated)
Despite action taken in Senegal, the fertility rate remains among the highest in the world. In 1978 it was estimated at 7.1 children per woman, fell to 5.7 in 1997 (DHS-III), 5.3 in 2005 (DHS-IV) and 5 in 2010 (DHS-MICS 2010-2011). This reduction in fertility is an urban phenomenon due basically to the rise in age at first marriage. The low buy-in among ordinary people to the family planning programme raises questions about the determining factors for contraceptive practice and these are the subject of this paper. The factors need to be identified so that they can be acted upon to promote contraceptive practice among women. This paper extends knowledge about the use of contraception by Senegalese women on the basis of data from the Demographic and Health Survey – Multiple Indicator Cluster Survey (DHS-MICS).
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2
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French
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1 000
Status in Programme
1

Pauvreté et besoins non satisfaits en matière de planification familiale dans un contexte sahélien : cas du Burkina Faso, du Mali et du Niger

Abstract
Le Burkina Faso, le Mali et le Niger se situent dans le Sahel. Ensemble, ils couvrent une superficie de 3 millions de km2 et sont peuplés de 30 millions d’habitants. Pays sous-développés, ils figurent en queue du classement du PNUD selon leur IDH.
Alors que les taux de prévalence contraceptive sont parmi les plus faibles d'Afrique , les proportions de femmes qui sont en besoins non satisfaits en matière de PF sont assez élevés : 23,6% en 2010 au Burkina Faso ; 31,2% au Mali en 2006 et 15,8% au Niger en 2006. On peut bien se demander pourquoi ces besoins non satisfaits sont si élevés malgré l'existence de politiques visant la vulgarisation des méthodes contraceptives.
La théorie microéconomique de l’équilibre entre l’offre et la demande ne permet pas d'expliquer ici le déséquilibre constaté en matière de PF.
Une hypothèse de cette recherche est que la pauvreté des ménages est le facteur crucial limitant l’accès des femmes aux méthodes contraceptives. Pour tester cette hypothèse, les données des EDS seront utilisées.
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17
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48 294
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Poverty and unsatisfied family planning needs in the Sahel: case of Burkina Faso, Mali and Niger
Abstract (Translated)
Burkina Faso, Mali and Niger are located in the Sahel. Today, they cover a surface area of 3 million km2 and have a population of 30 million people. These underdeveloped countries are at the very bottom of the UNDP’s HDI. Although contraceptive prevalence rates are among the lowest in Africa, the percentage of women with unsatisfied family planning needs is quite high: 23.6% in Burkina Faso in 2010, 31.2% in Mali in 2006 and 15.8% in Niger in 2006. It may be asked why these unsatisfied needs are so high despite the existence of policies aimed at making contraceptive methods available to the general population. The microeconomic theory of a balance between supply and demand does not explain the imbalance observed in respect to family planning. One hypothesis of our research is that household poverty is the crucial factor that limits women’s access to contraceptive methods. DHS data will be used to test this hypothesis.
Status (Translated)
2
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French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

Contraception et sexualité chez les jeunes célibataires au Maghreb : Représentations et pratiques différenciées chez les femmes et les hommes.

Abstract
Dans les pays du Maghreb, la contraception et la santé sexuelle sont souvent analysées uniquement du point de vue des femmes déjà mariées en âge de 15 à 49 ans . Les informations sur les connaissances des méthodes contraceptives, les représentations et les pratiques ne concernaient jusque là que ce groupe de population car, il est n’est pas encore admis, dans ces sociétés, que des femmes célibataires puissent avoir une sexualité avant le mariage et encore moins de recourir à une quelconque contraception. Légalement, la vie féconde et reproductive commence avec le mariage. Depuis 2001, une vague d’enquêtes sur la santé de la famille permet de faire des analyses nouvelles dans quatre pays du Maghreb (Algérie, Libye, Maroc, Tunisie) sur la santé de la reproduction des jeunes célibataires femmes et hommes de moins de trente ans (attitudes, représentations et plus indirectement les pratiques sexuelles hors mariage) Après la présentation des données, la communication sera structurée en trois parties. La première décrira le contexte nouveau dans lequel vivent les jeunes célibataires Maghrébins. La deuxième sera consacrée à l’étude comparée des représentations de la sexualité chez les jeunes femmes et hommes et enfin une dernière partie analysera les connaissances, représentations et pratiques différenciées en matière de contraception
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17
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47 887
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Contraception and sexuality among the unmarried young in North Africa: differential representations and practices among women and men
Abstract (Translated)
In the North African countries, contraception and sexual health are often analysed solely from the point of view of married women between 15 and 49. Information about knowledge of contraceptive methods, representations and practices have so far only concerned that population group, because these societies do not yet admit that unmarried women may have sexual experience before marriage, and even less that they may use any sort of contraception. In legal terms, fertility and reproduction begin with marriage. Since 2001, a wave of family health surveys have provided new analyses in Algeria, Libya, Morocco and Tunisia concerning the reproductive health of unmarried women and men under thirty (attitudes, representations and, indirectly, sexual practices outside marriage). After presentation of the data, Part 1 of the paper describes the new context for young unmarried North Africans. Part 2 is a comparative study of the representations of sexuality among young women and men, and Part 3 analyses their differential knowledge, representations and practices concerning contraception.
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2
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Language of Presentation
English
Weight in Programme
3
Status in Programme
1

Documentation du processus de l’offre initiale de pilules (OIP) par les matrones des cases de santé

Abstract
Pour contribuer à la maîtrise de la fécondité (12% de prévalence contraceptive et 32% de besoins non satisfaits en PF) et à la réduction de la mortalité maternelle et néonatale, notamment en milieu rural, l’Offre initiale de pilule (OIP), initiative du Ministère de la Santé et de la Prévention du Sénégal menée en partenariat avec l’USAID, a consisté à introduire, en s'appuyant sur les acteurs communautaires (matrones et agents de santé communautaire) des cases de santé, un panel de méthodes contraceptives dont la pilule.
Elle a démarré en 2009 dans 206 cases de santé. Le CEFOREP a été chargé de documenter cette nouvelle approche. L'objectif de cette étude quantitative et qualitative était de documenter le processus OIP par les matrones des cases de santé à des fins de passage à l'échelle.
A l’issue de l’évaluation, il apparait qu'au Sénégal, l’offre initiale de pilule était maîtrisée par la grande majorité des matrones des cases où cette nouvelle approche a été testée. Leurs compétences techniques et leur disponibilité étaient très satisfaisantes. Les utilisatrices, comme les prestataires (infirmiers, sages-femmes, médecins) et les leaders avaient une perception positive de l’OIP. Une augmentation significative du nombre d’utilisatrices de la PF a également été observée.
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Event ID
17
Paper presenter
50 971
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Pilot project for the introduction of contraceptive pills (OIP) by trained health attendants in health huts
Abstract (Translated)
To help control fertility (12% contraceptive prevalence and 32% unmet family planning needs) and reduce maternal and neonate mortality, particularly in rural areas, the Offre Initiale de Pilule (OIP), an initiative of the Senegal ministry of health and prevention in partnership with USAID, consisted of using community players (trained health attendants [matrones] and community health agents) in health huts (cases de santé) to introduce a range of contraceptive methods including the pill. It began in 2009 in 206 health huts. CEFOREP was asked to record this new approach. The aim of this quantitative and qualitative study was to describe the trained health attendants’ use of the OIP process with view to project scale-up. The evaluation shows that in Senegal this introduction of the contraceptive pill was understood and implemented by a large majority of trained health attendants in the health huts where the approach was tested. Their technical skills and availability were highly satisfactory. Both users, care providers (nurses, midwives, doctors) and leaders had a positive perception of the OIP project. A significant increase in the number of family planning users was also observed.
Status (Translated)
2
Type of Submissions
Regular session only
Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

Dynamique de l’utilisation des méthodes modernes de planification familiale selon les caractéristiques socioculturelles des femmes au Burkina Faso de 2003 à 2010 : Effet de décomposition ou de comportement ?

Abstract
Le renforcement des soins de santé de la reproduction et des services de planification familiale, dans les pays en développement, est présenté comme prioritaire pour l’intervention dans les différents plans visant l’amélioration de la santé des femmes et des enfants. La mise en œuvre des services appropriés exige une bonne compréhension des facteurs influençant les niveaux de reproduction chez les femmes et leurs modes de comportement. L’utilisation des méthodes contraceptives dans un contexte de forte fécondité permet de maîtriser la croissance démographique. C’est le choix opéré par le Burkina Faso à travers sa politique nationale de population.

De 2003 à 2010, on a observé un gain de 5,3 point de pourcentage d’utilisation de méthode moderne de contraception. Une bonne connaissance de ces facteurs ayant permis un tel gain permettra un meilleur ciblage des interventions.

Les données qui permettront de mener à bien cette analyse sont celles des Enquêtes démographiques et de santé réalisées au Burkina Faso en 2003 et en 2010. La variable dépendante est l’utilisation actuelle d’une méthode moderne de contraception.

La méthode d’analyse sera à la fois une approche descriptive et une méthode de décomposition simple et de décomposition avancée.
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Event ID
17
Paper presenter
34 830
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Trends in the use of modern family planning methods according to women’s socio-cultural characteristics in Burkina Faso from 2003 to 2010: decomposition effect or behaviour effect?
Abstract (Translated)
More effective reproductive health care and family planning services in developing countries are a stated priority for action in the various plans to improve women and children’s health. The implementation of the appropriate services requires a sound understanding of the factors that influence women’s use of reproduction and their behaviour. The use of contraception in a period of high fertility is a way of controlling population growth. This is the choice Burkina Faso has made in its national population policy. From 2003 to 2010, a rise of 5.3 percentage points was observed in the use of modern contraception. Soundly based knowledge of the factors behind this rise can be used to target action more accurately. The data for this analysis come from the Demographic and Health surveys held in Burkina Faso in 2003 and 2010. The dependent variable is current use of modern contraception. The method of analysis uses both a descriptive approach and simple decomposition and advanced decomposition methods.
Status (Translated)
2
Type of Submissions
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
16
Status in Programme
1

Pauvreté et utilisation de la contraception dans la région du Sud-Cameroun: Cas de la ville de Sangmélima

Abstract
Les pays d’Afrique Subsahariens se caractérisent par un faible taux de prévalence contraceptive et de l’importance des besoins non satisfaits en la matière. Pour certains auteurs, ce phénomène s’explique par l’inaccessibilité des moyens modernes de contraception, la mauvaise distribution, le faible soutien étatique et le coût élevé des méthodes contraceptives (Veron, 1997 ; Bella, 1998) pour d’autres par contre, l’émergence d’une demande des services de planification familiale inhibée par les normes socioculturelles en vigueur dans ces sociétés en serait la principale raison. Ce constat reste maintenu dans le contexte camerounais. Dans la région du Sud Cameroun, environ une femme sur trois en union utilise une méthode contraceptive et 30% utilisent une méthode moderne. Par ailleurs, la prévalence du VIH est nettement plus élevée dans la région du Sud que dans les autres régions du pays et se situe à 7,2 % (EDS-MICS, 2011). Cette région n’étant pas uniforme du point de vue du développement économique et des comportements, on peut envisager l’analyse du point de vue de la configuration de cette région. Ainsi, le cas de la ville de Sangmélima trouve ainsi sa pertinence. Qu’est ce qui explique le niveau actuel d’utilisation de la contraception par les femmes en union à Sangmélima ? La pauvreté y joue-t-il un rôle ?
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Event ID
17
Paper presenter
52 829
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Poverty and the use of contraception in southern Cameroon: the case of Sangmélima
Abstract (Translated)
The countries of Sub-Saharan Africa are characterised by a low rate of contraceptive use and a high level of unsatisfied requirements in that respect. For certain authors, this can be explained by the inaccessibility of modern contraceptive methods, poor distribution, low government support and the high cost of contraceptive methods (Veron, 1997; Bella, 1998). For others, the emergence of a demand for family planning services inhibited by the sociocultural norms currently in force in these societies, is the main reason. The problem persists in Cameroon. In southern Cameroon, approximately one woman out of three living in a couple uses a contraceptive method and 30% use a modern method. The prevalence of HIV is much higher in the south than in other parts of the country i.e. 7.2% (DHS-MICS, 2011). Since southern Cameroon is not uniform in terms of economic development and behaviours, it can be analysed according to its particular configuration. In this respect, Sangmélima is highly pertinent. What explains the current level of use of contraception by women living in couples in Sangmélima? Does poverty play a role?
Status (Translated)
2
Type of Submissions
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Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1

ECART ENTRE PREMIER RAPPORT SEXUEL ET PREMIERE GROSSESSE CHEZ LES FEMMES CAMEROUNAISES : L’EFFET DE LA CONTRACEPTION

Abstract
Selon l’EDSC-2004, les femmes camerounaises ont dans l’ensemble leur premier enfant entre 19 et 20 ans. En 2005, 25% de femmes avaient eu leur premier enfant avant 17ans, et 53% avant 19ans. Ces indicateurs révélateurs de la précocité de l’entrée en vie féconde des femmes Camerounaises, pourraient s’expliquer par une entrée en vie sexuelle précoce qui augmente le risque de grossesse en absence d’utilisation efficace de méthodes contraceptives. Cet article se propose d’évaluer l’efficacité de la contraception, en analysant les durées de parcours de vie entre de l’âge au premier rapport sexuel et l’âge à la première grossesse en fonction du recours ou non à la contraception. Les données utilisées ici sont ceux de l’enquête «Pauvreté et besoins non satisfaits en santé de la reproduction chez les adolescents et les jeunes» réalisée en 2010 par IFORD, qui a recueilli des biographies d’adolescents et jeunes âgés de 15 à 34 ans vivant à Bafia. Le recours aux tables de survie et aux courbes de Kaplan Meier permettra de ressortir les écarts entre l’entrée en vie sexuelle et l’entrée en vie génésique, et le modèle de Cox d’identifier les déterminants de la variabilité de la durée de ce parcours de vie.
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Event ID
17
Paper presenter
52 800
Language (Translated)
en
Title (Translated)
Elapsed time between first sexual relations and first pregnancy among Cameroon women: the effect of contraception
Abstract (Translated)
According to the 2004 DHS, Cameroun women generally have their first child between the ages of 19 and 20. In 2005, 25% had their first child before age 17 and 53% before age 19. These indicators of the early start to childbearing among Cameroun women may be due to an early start to sexual experience, which increases the risk of pregnancy in the absence of effective use of contraception. This paper evaluates the effectiveness of contraception by analysing the time elapsed between age at first sexual relations and age at first pregnancy according to whether or not contraception is used. The data come from the IFORD 2010 “poverty and unmet needs in reproductive health of adolescents and youth” survey, which recorded the biographies of adolescents and young people between 15 and 34 living in Bafia. Use of survival tables and Kaplan Meier curves identifies the times elapsed between first sexual experience and first childbearing, and the Cox model the determining factors for the variability of this elapsed time.
Status (Translated)
2
Type of Submissions
Regular session presentation, if not selected I agree to present my paper as a poster
Language of Presentation
French
Weight in Programme
1 000
Status in Programme
1